Rozmask, Daly - Hiver Lyrics

Ils ont le regard sur moi
J'ai des visions de leur prison, d'l'esprit
Mais que vis-t-on
Dans du vuitton? J'estime
Que nous glissons
Vers une vie sombre, j'explique
Les finances, que j'ai mise dans l'textile
Sont les silences, de l'existence servile
Face aux cris denses, d'la médisance, décide
De pas vivre dans, l'ennuie cuisant, d'cette ville
Et j'ai, erré, masqué, tant j'ai honte de mes faiblesses
On s'aime jamais assez pour s'comprendre et tu es reine dans le monde de mes échecs
J'avais dix ans, j'étais migrant d'cette île
Où la distance, avec le réel, rend la vie tant flexible
C'est facile quand t'es p'tit
De rêver
Mais la vie m'rend sceptique
Bang
Le plus froid des hivers
Est celui où les autres hibernent
J'ai envie d'faire c'qui m'rend si fier
Mais je sais tout c'que j'y perds
J'pourrais me noyer dans le chagrin, on pourrait succomber à chaque fois
J'y croirai toujours sans crier au secours, si mes rêves se meurent gros achève-moi
J'te revois rigoler dans l'siège, nan j'ai pas trouvé de nom d'scène
J'rentre plus dans ta vie, il me reste une montagne à gravir, nan je peux pas t'oublier j'te vois rayonner dans l'ciel
J'préfère zoner seul, le coeur est froid l'hiver, j'peux pas l'assumer devant mes notes je parais fier
Le pire est ailleurs, les jambes en tailleur, j'écris le présent je me rappelle pas d'hier
Je t'emmène au bord de mer dis moi d'où est-ce que tu viens? Temps mélancolique on se déteste quand il pleut
Petit face au ciel on se rappelle qu'on est rien, j'te laisse te détruire ouais dis moi tout c'que tu veux
Le plus froid des hivers
Est celui où les autres hibernent
J'ai envie d'faire c'qui m'rend si fier
Mais je sais tout c'que j'y perds
J'ai pas eu le courage de prendre le temps
Peut être qu'une vie simple, ça me tente
J'sais pas si c'est mon âge, qui me hante
Paraît qu'le plus beau des mirages, est devant
J'vois le temps passer, les regrets nous suivent, peut-être que j'me lancerai dans l'attente d'un signal et tard dans la nuit, la magie opère, et le jour se perd, bah ouais p't'être que j'le vis mal
Un rêve qui s'éteint, un monde qui s'effondre, la recherche de l'être s'avérait être abyssale
J'vois le temps passer, minuit sur la montre, les yeux vers le ciel, les yeux sur le monde
Tu connais
Vivement
L'épanouissement
Ceux qui nourrissent mentent
C'est évident
À l'abris, des procès
J'ai troqué, ma vie
En fin, la partie
Qui me rend vivant
Pour de la pitance
Car ma rime
Est ma maladie
Depuis qu'j'ai six ans
Mes rêves comme navires qui naviguent dans le triangle
Le plus froid des hivers
Est celui où les autres hibernent
J'ai envie d'faire c'qui m'rend si fier
Mais je sais tout c'que j'y perds
J'ai pas eu le courage de prendre le temps
Peut être qu'une vie simple, ça me tente
J'sais pas si c'est mon âge, qui me hante
Paraît qu'le plus beau des mirages, est devant

Ils ont le regard sur moi
J'ai des visions de leur prison, d'l'esprit
Mais que vis-t-on
Dans du vuitton? J'estime
Que nous glissons
Vers une vie sombre, j'explique
Les finances, que j'ai mise dans l'textile
Sont les silences, de l'existence servile
Face aux cris denses, d'la médisance, décide
De pas vivre dans, l'ennuie cuisant, d'cette ville
Et j'ai, erré, masqué, tant j'ai honte de mes faiblesses
On s'aime jamais assez pour s'comprendre et tu es reine dans le monde de mes échecs
J'avais dix ans, j'étais migrant d'cette île
Où la distance, avec le réel, rend la vie tant flexible
C'est facile quand t'es p'tit
De rêver
Mais la vie m'rend sceptique
Bang
Le plus froid des hivers
Est celui où les autres hibernent
J'ai envie d'faire c'qui m'rend si fier
Mais je sais tout c'que j'y perds
J'pourrais me noyer dans le chagrin, on pourrait succomber à chaque fois
J'y croirai toujours sans crier au secours, si mes rêves se meurent gros achève-moi
J'te revois rigoler dans l'siège, nan j'ai pas trouvé de nom d'scène
J'rentre plus dans ta vie, il me reste une montagne à gravir, nan je peux pas t'oublier j'te vois rayonner dans l'ciel
J'préfère zoner seul, le coeur est froid l'hiver, j'peux pas l'assumer devant mes notes je parais fier
Le pire est ailleurs, les jambes en tailleur, j'écris le présent je me rappelle pas d'hier
Je t'emmène au bord de mer dis moi d'où est-ce que tu viens? Temps mélancolique on se déteste quand il pleut
Petit face au ciel on se rappelle qu'on est rien, j'te laisse te détruire ouais dis moi tout c'que tu veux
Le plus froid des hivers
Est celui où les autres hibernent
J'ai envie d'faire c'qui m'rend si fier
Mais je sais tout c'que j'y perds
J'ai pas eu le courage de prendre le temps
Peut être qu'une vie simple, ça me tente
J'sais pas si c'est mon âge, qui me hante
Paraît qu'le plus beau des mirages, est devant
J'vois le temps passer, les regrets nous suivent, peut-être que j'me lancerai dans l'attente d'un signal et tard dans la nuit, la magie opère, et le jour se perd, bah ouais p't'être que j'le vis mal
Un rêve qui s'éteint, un monde qui s'effondre, la recherche de l'être s'avérait être abyssale
J'vois le temps passer, minuit sur la montre, les yeux vers le ciel, les yeux sur le monde
Tu connais
Vivement
L'épanouissement
Ceux qui nourrissent mentent
C'est évident
À l'abris, des procès
J'ai troqué, ma vie
En fin, la partie
Qui me rend vivant
Pour de la pitance
Car ma rime
Est ma maladie
Depuis qu'j'ai six ans
Mes rêves comme navires qui naviguent dans le triangle
Le plus froid des hivers
Est celui où les autres hibernent
J'ai envie d'faire c'qui m'rend si fier
Mais je sais tout c'que j'y perds
J'ai pas eu le courage de prendre le temps
Peut être qu'une vie simple, ça me tente
J'sais pas si c'est mon âge, qui me hante
Paraît qu'le plus beau des mirages, est devant