HOTEL FLASHBACK, MOOMAK, Ativan - Le dernier jour d'un condamné Lyrics

Le condamné a accès à un papier et un stylo et écrit continuellement
De 6h du matin jusqu'à 4h du soir et donc le lecteur a accès aux pensées
Et par cette fiction-là peut rentrer dans le cachot du prisonnier
J'aimerais partir de ce monde, m'envoler prendre mes distances
Y a trop de bruit sur les ondes, sans lendemain y a pas assez de sens
Tous les jours la même chose, chaque seconde la même histoire
Des enfants des femmes des hommes tombent, et ceux qui restent perdent espoir
Soit je tourne en rond, soit je tombe dans le vide j'ai le mal de mer
Mais rien à faire, c'est le désert, j'te jure frère un vrai calvaire
Je pense à ceux à qui on ne pense pas, à ceux qu'on ne voit pas
Mon frère n'oublie pas que c'est ensemble que l'on vaincra
Est-ce que tu vois cette ombre qui s'installe dans tes pensées
Tes pensées les plus profondes que les médias ont altérées
Mais tu vis sans lendemain
Soulagé des mots qui brûlent
Mais tu crois en l'avenir
Libéré des peurs qui t'enchainent
J't'emmène, viens
Je suis ta drogue, ta dope, ta coke
Ton héroïne numérique
Fatigué de ces gens qui vous mentent plus qu'énormément
La mascarade a trop duré ça dure depuis bien trop longtemps
Fatigué de ressentir sans cesse la souffrance des hommes
Fatigué de sentir, en stress, cette force qui m'abandonne
Fatigué de toute cette haine que l'on veut sans cesse nous montrer
Dans ce monde qui se laisse aller j'sais plus où me positionner
J'espère des fois que c'est qu'un rêve que mon réveil va sonner
J'espère qu'il y a encore sur Terre des gens pour pouvoir espérer
Mais la plupart ne voient que profit, à quoi sert donc une vie
Quand le pouvoir fou de l'argent rend tout ce foutoir affligeant ?
Aucune peine sans doute, pendant qu'ils tranquillement nous envoûtent
Avec toutes leurs lois à deux balles ils nous font de plus en plus mal
Tout devient marginal, j'suis pas devin je n'connais pas la fin
Je sens que ça va être fatal, mais bon on verra ça demain
Du monde et de la vie frérot ne restera que des photos
La terre se meurt sous 7 milliards de spectateurs derrière l'corbillard
Sous la pluie (yeah sous la pluie)
Ta force d'âme (ta force d'âme)
Saura bien te relever (yeah te relever)
Mais si tu cries (si tu cries) tes convictions (tes convictions yeah)
Personne ne pourra t'arrêter (personne pourra t'arrêter yeah)
Mais tu pries (vérité)
Mais tu cries (exécuté)
Mais tu vis (condamné)
Ce dernier jour (ce dernier jour)
Comme un humain (comme un humain)
Digne (digne)
(Yeah Moomak, Hotel Flashback, Ativan)
(Le dernier jour d'un condamné yeah)

Le condamné a accès à un papier et un stylo et écrit continuellement
De 6h du matin jusqu'à 4h du soir et donc le lecteur a accès aux pensées
Et par cette fiction-là peut rentrer dans le cachot du prisonnier
J'aimerais partir de ce monde, m'envoler prendre mes distances
Y a trop de bruit sur les ondes, sans lendemain y a pas assez de sens
Tous les jours la même chose, chaque seconde la même histoire
Des enfants des femmes des hommes tombent, et ceux qui restent perdent espoir
Soit je tourne en rond, soit je tombe dans le vide j'ai le mal de mer
Mais rien à faire, c'est le désert, j'te jure frère un vrai calvaire
Je pense à ceux à qui on ne pense pas, à ceux qu'on ne voit pas
Mon frère n'oublie pas que c'est ensemble que l'on vaincra
Est-ce que tu vois cette ombre qui s'installe dans tes pensées
Tes pensées les plus profondes que les médias ont altérées
Mais tu vis sans lendemain
Soulagé des mots qui brûlent
Mais tu crois en l'avenir
Libéré des peurs qui t'enchainent
J't'emmène, viens
Je suis ta drogue, ta dope, ta coke
Ton héroïne numérique
Fatigué de ces gens qui vous mentent plus qu'énormément
La mascarade a trop duré ça dure depuis bien trop longtemps
Fatigué de ressentir sans cesse la souffrance des hommes
Fatigué de sentir, en stress, cette force qui m'abandonne
Fatigué de toute cette haine que l'on veut sans cesse nous montrer
Dans ce monde qui se laisse aller j'sais plus où me positionner
J'espère des fois que c'est qu'un rêve que mon réveil va sonner
J'espère qu'il y a encore sur Terre des gens pour pouvoir espérer
Mais la plupart ne voient que profit, à quoi sert donc une vie
Quand le pouvoir fou de l'argent rend tout ce foutoir affligeant ?
Aucune peine sans doute, pendant qu'ils tranquillement nous envoûtent
Avec toutes leurs lois à deux balles ils nous font de plus en plus mal
Tout devient marginal, j'suis pas devin je n'connais pas la fin
Je sens que ça va être fatal, mais bon on verra ça demain
Du monde et de la vie frérot ne restera que des photos
La terre se meurt sous 7 milliards de spectateurs derrière l'corbillard
Sous la pluie (yeah sous la pluie)
Ta force d'âme (ta force d'âme)
Saura bien te relever (yeah te relever)
Mais si tu cries (si tu cries) tes convictions (tes convictions yeah)
Personne ne pourra t'arrêter (personne pourra t'arrêter yeah)
Mais tu pries (vérité)
Mais tu cries (exécuté)
Mais tu vis (condamné)
Ce dernier jour (ce dernier jour)
Comme un humain (comme un humain)
Digne (digne)
(Yeah Moomak, Hotel Flashback, Ativan)
(Le dernier jour d'un condamné yeah)