Your.Nash - sans visage Lyrics

Toujours seul, j'ai mal
Je connais la peine
J'ai baigné dedans
Je connais la peine
J'ai mes erreurs en tête
Laisse moi seul, pars devant
Je garde seulement mes fautes, en vrai
Le reste pris par le vent
On a traîné dans les ténèbres
Pour en comprendre toute la teneur
La colère a entraîné tes nerfs
Pas assez fort pour la tenir
On s'est retrouvé dans les limbes
J'ai un conflit, le vent le noue
Tu as appris à jouer les durs mais je t'ai vu bégaye devant le loup
On t'a trop dit que t'avais peur, toi tu ne veux plus jamais l'entendre
Alors tu as construit une armure, je te connais plus, ça fait longtemps
Tu as voulu changer de direction, au point d'emmêler tes pas
Tu as terminé les mains en sang mais sa figure ne l'était pas
Tu n'as pas frappé pour le niquer, toi tu as frappé pour te punir
Il fallait que tu aies mal et que tu comprennes que sur ta vie il ait pu nuire
Mais c'est ton sang, et tu le sais, donc tu le haïs autant que tu l'aimes
Très peu ensemble, et si tu saignes, bah tu le trahis autant que tu l'aides
On a trop joué les aveugles, on se raconte des histoires qui nous plaisent
On a arrêté de mentir pour enfin comprendre ce qui nous blesse
On a revisité nos plaies pour pouvoir esquisser nos plans
On a compris qu'on était peu de choses face a l'existence qui nous plante
Laisser le sable au temps, partir pour déjouer les dunes
Regarde nous, on a la peau qui s'écaille à force de jouer les durs
J'ai haïs la solitude
Mais je me suis forcé à l'aimer
J'ai surpris des larmes couler alors que je pensais aller mieux
Je n'ai de toi que des souvenirs et ma rancœur te pique tes mots
Je trouve ça triste comme admettre que ma vie est mieux depuis que tu es mort
Un jour j'ai rencontré la lune depuis je lui voue allégeance
J'ai apprécié les gens simples et j'ai détesté les chanceux
Ils ont peur de moi depuis que j'ai pris du verbe
Laisse ma conscience auprès du vent, ma sobriété au prix du verre
Je continue d'encrasser mes poumons
Crise d'angoisse et puis le poult monte
Je laisse mes écrits dans le tourment
Je suis pas une re-sta, je suis comme tout le monde
Encore une nuit solitaire où je me fais victime de mon mal-être
Chat des gouttières comme Oma'
Faut que je m'élucide, mes démons m'alertent
Je pense à mon père
Je me dis qu'il est mort
J'espère qu'il ne l'est pas
Je l'ai dans la tête
Donc j'enquille les tords
Maintenant qu'il est tard
Le ciel nous est tombé dessus, nous on a jamais voulu ça
Pourtant grâce à toutes ces merdes, dans nos têtes ça évolue sale
J'ai craché sur des gens qui ont demandé mon aide
J'ai vu mes démons naître, et voulu démonter mon être
La solitude remplace les traîtres, les traîtres remplacent les reufs
Je connais mes erreurs, mais je me pète en train de les refaire
Syndrome du banlieusard, alors on se méfie des gens
On a perdu la grinta, on voit le destin qui déchante
Je me sens comme Chihiro face au voyage que j'envisage
Partir sans dire un mot, disparaître comme un sans visage
Toujours seul, j'ai mal
Je connais la peine
J'ai baigné dedans
Je connais la peine
J'ai mes erreurs en tête
Laisse moi seul, pars devant
Je garde seulement mes fautes, en vrai
Le reste prit par le vent
j'ai mal
J'ai mes erreurs en tête
Laisse moi seul, pars devant
Je garde seulement mes fautes, en vrai
Le reste prit par le vent

Toujours seul, j'ai mal
Je connais la peine
J'ai baigné dedans
Je connais la peine
J'ai mes erreurs en tête
Laisse moi seul, pars devant
Je garde seulement mes fautes, en vrai
Le reste pris par le vent
On a traîné dans les ténèbres
Pour en comprendre toute la teneur
La colère a entraîné tes nerfs
Pas assez fort pour la tenir
On s'est retrouvé dans les limbes
J'ai un conflit, le vent le noue
Tu as appris à jouer les durs mais je t'ai vu bégaye devant le loup
On t'a trop dit que t'avais peur, toi tu ne veux plus jamais l'entendre
Alors tu as construit une armure, je te connais plus, ça fait longtemps
Tu as voulu changer de direction, au point d'emmêler tes pas
Tu as terminé les mains en sang mais sa figure ne l'était pas
Tu n'as pas frappé pour le niquer, toi tu as frappé pour te punir
Il fallait que tu aies mal et que tu comprennes que sur ta vie il ait pu nuire
Mais c'est ton sang, et tu le sais, donc tu le haïs autant que tu l'aimes
Très peu ensemble, et si tu saignes, bah tu le trahis autant que tu l'aides
On a trop joué les aveugles, on se raconte des histoires qui nous plaisent
On a arrêté de mentir pour enfin comprendre ce qui nous blesse
On a revisité nos plaies pour pouvoir esquisser nos plans
On a compris qu'on était peu de choses face a l'existence qui nous plante
Laisser le sable au temps, partir pour déjouer les dunes
Regarde nous, on a la peau qui s'écaille à force de jouer les durs
J'ai haïs la solitude
Mais je me suis forcé à l'aimer
J'ai surpris des larmes couler alors que je pensais aller mieux
Je n'ai de toi que des souvenirs et ma rancœur te pique tes mots
Je trouve ça triste comme admettre que ma vie est mieux depuis que tu es mort
Un jour j'ai rencontré la lune depuis je lui voue allégeance
J'ai apprécié les gens simples et j'ai détesté les chanceux
Ils ont peur de moi depuis que j'ai pris du verbe
Laisse ma conscience auprès du vent, ma sobriété au prix du verre
Je continue d'encrasser mes poumons
Crise d'angoisse et puis le poult monte
Je laisse mes écrits dans le tourment
Je suis pas une re-sta, je suis comme tout le monde
Encore une nuit solitaire où je me fais victime de mon mal-être
Chat des gouttières comme Oma'
Faut que je m'élucide, mes démons m'alertent
Je pense à mon père
Je me dis qu'il est mort
J'espère qu'il ne l'est pas
Je l'ai dans la tête
Donc j'enquille les tords
Maintenant qu'il est tard
Le ciel nous est tombé dessus, nous on a jamais voulu ça
Pourtant grâce à toutes ces merdes, dans nos têtes ça évolue sale
J'ai craché sur des gens qui ont demandé mon aide
J'ai vu mes démons naître, et voulu démonter mon être
La solitude remplace les traîtres, les traîtres remplacent les reufs
Je connais mes erreurs, mais je me pète en train de les refaire
Syndrome du banlieusard, alors on se méfie des gens
On a perdu la grinta, on voit le destin qui déchante
Je me sens comme Chihiro face au voyage que j'envisage
Partir sans dire un mot, disparaître comme un sans visage
Toujours seul, j'ai mal
Je connais la peine
J'ai baigné dedans
Je connais la peine
J'ai mes erreurs en tête
Laisse moi seul, pars devant
Je garde seulement mes fautes, en vrai
Le reste prit par le vent
j'ai mal
J'ai mes erreurs en tête
Laisse moi seul, pars devant
Je garde seulement mes fautes, en vrai
Le reste prit par le vent