Echanges
Lyrics
J'ai réussi, nous nous aimons
Que tous les deux nous ne formons
Qu’un être étrange
À quatre jambes à quatre bras
Deux fronts, deux nez, et cetera
Qui se mélangent
Je ne sais quand on s’appartient
Lequel de nous deux l’autre tient
Quand on s’enlace
Et bouche à bouche ou joue à joue
Je ne sais plus si c’est toi ou moi qui t’embrasse
Dessous mon oreiller parfois
Je glisse une main que je crois
Être la mienne
Et quand je viens à m’éveiller
Je m’aperçois émerveillée que c’est la tienne
Quand il sent le cinq molyneux, le chypre ou le benjoin
Ben c'est que je m’en parfume
Et de même après nos ébats
Si parfois je sens le tabac
C’est quand tu fumes
Lorsque tu as trop travaillé
Mais c’est moi qui me sens fatiguée
La tête vide
Et quand je crois que je vieillis
C’est toi qui l’affirmes chéri
Qui as des rides
Si je regarde l’eau couler
C’est toi qui te sens chanceler
Pris de vertiges
Et je guéris plus vivement
Quand tu bois les médicaments
Que l’on m’inflige
Mieux que toi je peux à loisir
Retrouver tous tes souvenirs
Dans ma mémoire
Ils y demeurent imprimés
Et mieux que moi tu connais mes propres histoires
Si bien qu’ayant vécu chacun
Avec l’autre ne faisant qu’un
Le jour funeste
Où l’un de nous deux s’en ira
Ni l’un ni l’autre ne saura celui qui reste
J'ai réussi, nous nous aimons
Que tous les deux nous ne formons
Qu’un être étrange
À quatre jambes à quatre bras
Deux fronts, deux nez, et cetera
Qui se mélangent
Je ne sais quand on s’appartient
Lequel de nous deux l’autre tient
Quand on s’enlace
Et bouche à bouche ou joue à joue
Je ne sais plus si c’est toi ou moi qui t’embrasse
Dessous mon oreiller parfois
Je glisse une main que je crois
Être la mienne
Et quand je viens à m’éveiller
Je m’aperçois émerveillée que c’est la tienne
Quand il sent le cinq molyneux, le chypre ou le benjoin
Ben c'est que je m’en parfume
Et de même après nos ébats
Si parfois je sens le tabac
C’est quand tu fumes
Lorsque tu as trop travaillé
Mais c’est moi qui me sens fatiguée
La tête vide
Et quand je crois que je vieillis
C’est toi qui l’affirmes chéri
Qui as des rides
Si je regarde l’eau couler
C’est toi qui te sens chanceler
Pris de vertiges
Et je guéris plus vivement
Quand tu bois les médicaments
Que l’on m’inflige
Mieux que toi je peux à loisir
Retrouver tous tes souvenirs
Dans ma mémoire
Ils y demeurent imprimés
Et mieux que moi tu connais mes propres histoires
Si bien qu’ayant vécu chacun
Avec l’autre ne faisant qu’un
Le jour funeste
Où l’un de nous deux s’en ira
Ni l’un ni l’autre ne saura celui qui reste
Writer(s): Mireille, RENE DORIN
Copyright(s): Lyrics © RAOUL BRETON EDITIONS, Peermusic Publishing
Lyrics Licensed & Provided by LyricFind
The Meaning of Echanges
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